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tres bien
Par Anonyme, le 06.01.2025
très joli texte
Par Anonyme, le 03.11.2020
c'est rès beau
Par Anonyme, le 16.06.2020
avec toute cette légèreté mais vers quelle contrée proche ou lointaine la plume va-t-elle nous emporter ?
Par Anonyme, le 15.03.2020
heureuse de retrouver cette jolie plume cette légèreté des mots ...
Par Anonyme, le 15.03.2020
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Date de création : 12.10.2014
Dernière mise à jour :
27.04.2020
437 articles
J'ai mis ma robe noire
Pour faire de l'ombre au soleil
Qui voudrait tant rester me voir
Et m'embrasser derrière l'oreille
J'ai mis des tas de strass
Pour briller de mille feux
Un croissant à trouver sa place
Comme pendentif très lumineux
Je me pare d'écharpes grises
De givre et de brouillard à la fois
Quand le vent me fait la bise
En sifflant, soufflant un air froid
J'arrive toujours sans faire de bruit
Pour ne pas vous effrayer
Je suis la belle et douce nuit
Qui vous offre repos et sérénité
La lune est bien pâle
Elle a perdu quelques étoiles
Englouties pas des nuages
Ils ont osé ! Quel outrage
Rendez nous les constellations
La grande Ourse sans condition
La nuit est incomplète sans la voie lactée
Appelez le vent, qu'il vienne les chasser
Vénus est perdue, où est-elle ?
Au nord, pas la moindre étincelle
Dans les cieux, c'est un béant trou noir
Un vide sidéral, quel désespoir !!
Le poète se morfond, sa muse disparait
C'en est ainsi au temps mauvais
Son âme erre dans un glacial silence
La plume se tait, son encre a gout de rance
La nuit est trop sombre, plus d'illusions
Les rêves s'effacent, quelle désolation
Morphée se sent seul, quel cauchemar
Personne ne viendra dans ses bras ce soir
Dans la nuit noire la lune blanche
Semble s’asseoir sur la plus haute branche
D'un grand saule au bord de l'étang
Dans la froideur du souffle du vent
Entre les branches, elle se laisse caresser
Le saule se penche, comme pour l'embrasser
Sur les flots noirs, leurs reflets tremblants
Nourrissent l'espoir de devenir amant
Au cœur de la nuit, le vent se met à chanter
Une douce symphonie pour les faire danser
Les rayons d'argent, aux branches, enlacés
Effleurent l'étang qui se met à frissonner
Le temps ainsi passe sous les étoiles filantes
L'arbre jamais ne se lasse de cette visite charmante
Mais à l'aurore, le saule devra la laisser
S'enfuir une fois encore vers la voie lactée
Il voudrait tant la garder pour toujours
Au bord de l'étang, lui dire des mots d'amour
Mais aux premières lueurs, elle quitte ses branches
Et le grand saule pleure sa belle lune blanche
Voici le ciel joliment drapé...
D'un voile noir, couleur d'ébène...
Quelques strass éparpillés...
La voie lactée en guise de traîne...
Un pendentif, couleur d'argent...
Illumine la robe de la nuit...
Collier de brume si élégant...
Le vent chante une douce mélodie...
Sous l'astre lunaire
J'ouvre en grand mes yeux
Sur le merveilleux
Du noir qui s'éclaire.
Et dans le regard danse ...
Une kyrielle d'étoiles...
Pétillement intense...
Qui doucement s'installe...
Éclair malicieux...
Sur battement de cil...
Dans les cieux ténébreux...
La lune jubile
Tout devient douceur
A ce ressenti
Sans compter les heures
Des cœurs bien remplis.
Toutes les lueurs
Sont l'espoir qui rit
Pour les grands rêveurs
Qui aiment l'envie.
Des lueurs d'espoir...
Qui s'en vont filant...
Sur le velours noir...
Délicieux instants...
Des voeux anodins...
De simples prières ...
Jusqu'au petit matin...
Des points de repère...
Qui disparaîtront...
A l'aurore ...
Derrière l'horizon...
Se couvrant d'orange et d'or
Impro avec Vincent Dumoulin (le fruit de mes écrits)
Le soleil se meure
S'écrasant à l'horizon
Et dans ces dernières heures
Nous offre ses ultimes rayons
L'azur se teinte de gris
D'anthracite et de noir
Soudain la lune surgit
Voici venir le soir
Les étoiles prennent place
Dessinant dans les cieux
Constellations de strass
Baptisées de noms de Dieux
Les ombres frissonnent
Dans la fraîcheur de la nuit
La pénombre emprisonne
Les villages endormies
Il est temps mes ami(e)s
De vous souhaiter maintenant
Une bonne et douce nuit
Et des rêves tout aussi charmants
Derrière l'horizon, le soleil dégringolait
Et dans la vallée, les ombres s'étalaient
Telles des taches d'encre noire sur du papier
Comme tous les soirs, la nuit doucement s'installait
Dans la ville, les fenêtres une à une s’éclairaient
Rectangles lumineux dans les murs emprisonnés
Quelques phares serpentaient sur la route en lacet
Des éclairs zébraient le ciel, l'orage, au loin, grondait
Dans les rues sombres, quelques néons grésillaient
Des éclats de rires s'échappaient des bars de quartiers
Dans les cours des immeubles, quelques chats s'expliquaient
Quand soudain, les premières gouttes tombèrent sur le pavé
Sur les bord du lac, les herbes folles ondulaient
Sous le vent humide qui se mit à souffler
Cliquetis de la pluie sur la noire surface ondulée
Où quelques barques amarrées roulaient et tanguaient
Les boulevards étaient drapés d'une lumière jaune orangée
Que les réverbères diffusaient sur la chaussée détrempée
A chaque éclair, des ombres grossières se projetaient
Disparaissant sous les coups de tonnerre d'un orage d'été
Atmosphère étrange en ce début de soirée
Présence impalpable, telle celle d'un ange
Qui doucement commençait à s'installer
Dans l'obscurité, sa robe blanche vous dérange
La lune était encore toute timide
Et elle lançait ses premiers rayons
Sur les prairies encore humides
Où on pouvait compter les moutons
Vous attendiez l'arrivée de Morphée
Pour enfin vous blottir dans ses bras
Mais le marchand de sable n'est pas passé
Nounours, sur son nuage, lui aussi, ne viendra pas
Les yeux grands ouverts fixant le plafond
Des ombres se dessinent et se mettent à danser
Le tic tac de l'horloge, agaçant bruit de fond
Met vos nerfs en pelote et vous tient éveillé
Un peu de lecture pourrait vous aider
Mais voici que les chapitres s’enchaînent
De la musique douce pour vous bercer
Mais trop d'adrénaline coule dans vos veines
Au cœur de la nuit, dans vos draps froissés
Vos rêves vous fuient, et votre âme est lasse
Dans de longs soupirs, elle semble chercher
Une trêve, un répit mais de repos, point de traces
Vous qui pensiez pouvoir plonger
Au paradis des songes merveilleux
C'est l'enfer que vous avez trouvé
Au fond de votre pieu
Vous ne vous faites plus d'illusions, en rond vous tournez
Vos idées sont noires comme blanche est cette nuit
Ce n'était pas un ange qui chez vous s'était immiscé
Mais le diable en personne que l'on appelle insomnie
Oh belle étoile, étoile polaire
Toi qui brille de milles feux
De toute les étoiles, tu es la mère
Un diamant d'or, joyau des cieux
La lune t'accueille toujours la première
Et te voilà rayonnante à ses côtés
Tu es la reine de notre bel univers
Toi la Vénus de la voie lactée
Du Nord, tu es la magnifique dépositaire
Guidant les hommes errants, les égarés
Sur les mers ou à travers les déserts
Les voyageurs, sur toi, peuvent compter
Dans la nuit froide, tu es cette lumière
Qui veille sur les troupeaux et les bergers
Une sentinelle, gardienne de la terre
Luminescence quand tombe l'obscurité
Oh belle étoile, étoile polaire
Toi qui brille de milles feux
De toute les étoiles, tu es la mère
Un diamant d'or, joyau des cieux
Il y a des rêves qui laissent une trace
Au petit matin, dans vos draps si froissés
Sous les paupières, quelques images fugaces
Instants délicieux que vous voudriez prolonger
Des décors étranges, et de sublimes paysages
Des parfums capiteux dans un brouillard divin
Quelques lueurs apparaissent comme des mirages
Des étincelles d'espoir qui effacent les chagrins
Il y a des rêves qui donnent le frisson
Ils effleurent l'esprit comme de douces caresses
Bercé d'illusions, le corps frémit sous l'édredon
Des baisers imaginaires pour une nuit d'ivresse
Des murmures lointains et de simples soupirs
Qui s'évanouissent dans un profond et doux silence
Des hologrammes charmants aux sublimes sourires
Souvenirs d'un temps passé ou simples réminiscences
Il y a des rêves qui réveillent doucement l'âme
Au fond du cœur, tressaillent de doux sentiments
Un feu timide et tendre qui soudain s'enflamme
Réduisant en cendre les plus terribles tourments
Tout paraît alors possible, un brin imaginable
Plus de chaînes aux pieds, voici la liberté
Les peurs se dissipent laissant place à l'agréable
Un bonheur éphémère le temps d'une nuit étoilée
La nuit tombe doucement sur la ville
Et la pluie s'en est enfin allée
La lune et ses astres de pacotille
Se montrent encore bien timorés
De grosses bouffées de brouillard
S'élèvent du fleuve en silence
Ruban d'eau froide, immobile et noir
Où plus aucun reflet ne se balancent
Les quelques passants sur les quais
Ne sont que des silhouettes mouvantes
Des écharpes de brumes restent accrochées
Aux façades des maisons imposantes
Dans les parcs, les larges allées se vident
Sous la lumière blafarde des réverbères
Seuls les arbres restent plantés dans l'herbe humide
Spectres figés dans cette ambiance lunaire
Sur les boulevards, les néons clignotent
Balisant les troquets et les hôtels bon marchés
Les voitures balancent des gerbes de flotte
Et disparaissent derrière un écran de fumée
La nuit s'est enfin installée sur la ville
Et le brouillard, sur les toits, s'est ancré
La lune et ses astres de pacotille,
Trop timides, resteront bien cachés